• Sujet : Ne désirons-nous que les choses que nous estimons bonnes ?

    "Le désir est un des fondements de la vie, car, rappelons-le, il touche aussi les animaux. C'est le propre de l'homme."
    "La naissance d'un désir est un fait banal. Il y en a des milliers au long d'une vie."
    "Dans notre société, la notion de bonté est importante et personne veut que l'on pense d'elle qu'elle est mauvaise."

    Sujet : Sommes-nous maîtres de nos paroles ?

    "De tous temps, l'on sait que l'homme est l'unique être vivant à posséder ce que l'on nomme les cinq sens et en particulier celui de la parole".
    "Là encore il perdure des exceptions, tout les hommes ne sont pas dans l'aptitude de parler, d'émettre un son vocal, exprimer des paroles car il existe des personnes non-parlantes plus généralement qualifiées de muets au sein d'une société. Ainsi, il nous intéresse de nous concentrer sur les personnes étant aptent à parler, de formuler des paroles."
    "L'homme est doté de 5 sens : l'ouïe, le touché, le gout, la vue, l'odorat. Ce qui le différencie de l'animal est la parole."

    Sujet : La certitude d'avoir raison est-elle un indice suffisant de vérité ?

    "Tout d'abord, la certitude d'avoir raison s'est être sure de quelque chose mais pas à cent pourcent."
    "Prenons l'exemple de deux hommes qui voient tous deux un même objet. L'un des hommes est albinos. Le premier voit l'objet d'une couleur, bleu l'autre le verra autrement."
    "Le soleil est l'élément qui nous apporte la lumière mais qui nous la retire également."
    "Quand nous ouvrons les yeux, que voyons-nous ? Des blocs de béton, des voitures, des machines volantes."
    "Chacun croit de la façon la plus pure à la religion dont il est sûre d'être celle qui accompagnera sa vie, d'autres sont hatés."
     

    Sujet : Texte de Spinoza sur l'esclavage et la liberté

    "Pour vraiment être libre, il fallait être née au début de la vie."
    "Le mot esclave désigne une personne n'obéissant qu'à son roi, il ne vit que pour le roi, ce n'est donc pas un esclave mais un fan."

    Sujet : texte d'Hannah Arendt sur la perception du travail dans les sociétés contemporaines

    "L'expression "gagner notre vie" à la l. 1 est une expression qui signifie gagner de l'argent pour vivre ou survivre. C'est-à-dire pour gagner de l'argent. En général, il faut faire quelque chose qui est rémunéré. Ceci est une façon de gagner de l'argent mais une autre est possible comme les jeux à gratter de la Fédération Française des jeux. Cette seconde possibilité n'est pas satisfaisante ni nécessaire pour vivre tout au long de notre vie car c'est juste un gain temporaire. C'est-à-dire qui ne dure pas, qui n'est pas régulier. Donc laissons de côté cette dernière possibilité".
    "L'artiste ne fait que donner de la joie aux personnes, certes il est rémunérer mais si tout le monde devient artistes, alors s'occupera des travaux menuels, qui s'occupera de l'industrie ... ? Si tout le mondre deviendrait artiste, plus personne n'aura de rêve personnelle, il va y avoir un désenchantement de la société car tout le monde ne pourra plus exprimer ses propres qualités car tous seront pareilles les uns les autres"
    "Faire le ménage chez soi n'est pas considéré comme un travail mais comme un passe-temps puisque cela ne nous rapporte pas d'argent. Pourtant un passe-temps est comme un amusement, un jeu et faire le ménage n'est pas pour la plupart des personnes un jeu mais plutôt une obligation comme le travail".

    Sujet : La certitude d'avoir raison est-elle un indice suffisant de vérité ?

    "Par exemple. Julien veut connaître Laura, mais un ami de Julien, Paul lui dit que Laura n'est pas gentille. Julien aura donc moins envie de connaître Laura car son jugement aura été influencé et ce jugement sera faux car en fait Laura est une fille très agréable".
    "D'ailleurs, pour moi ce que je pense, n'est que vérité, car si mes pensées évoluent avec le monde extérieur, celui qui m'entourent, tout ce que l'on dit ne peut être que vraie, mais dans ce cas-là, tout le monde détiendrait les mêmes vérités donc tout le monde aurait raison."
    "Prenons l'exemple d'une classe de 32 élèves lors d'1 cours de mathématiques, l'explication du professeur peut paraître évidente à 16 élèves, moins évidente à 8 élèves et pas évident du tout aux 8 autres élèves. Ceci voudrait dire que le cours de mathématiques comporte à la fois une vérité certaine, moins certaine et même que le cours est faux puisqu'une partie des élèves ne trouve pas le cours évident".
    "Prenons un enfant auquel vous inculquez que le père noël ou autres fééries du même genre existe, l'enfant mettra sa main au feu qu'il a raison et qu'il détient la vérité".
    "Enfin nous pourrons dire que notre certitude est suffisante pour avancer une vérité si nous sommes professionnels dans un certain domaine. Par exemple je connais tout d'un sport comme le football et je peux avancer des vérités, exemple : il manque un attaquant dans cette équipe, je suis spur que durant la période des transferts, l'entraîneur va en chercher un pour combler le manque".
    "Prenons un exemple au tennis. Vous faites jouer le numéro 1 mondial contre le numéro 100. Normalement et je dis bien normalement le vainqueur doit être le numéro 1 et pourtant si tout se passait normalement il n'y aurait qu'un seul numéro 1 jusqu'à ce qu'il prenne sa retraite sportive et donc il n'y aurait aucun intérêt à regarder les matchs de tennis puisque nous connaîtrions d'avance le gagnant et lorsque nous allons voir se disputer un march nous venons pour le suspens pour le divertissement et donc chacun a ses chances. C'est donc pour cela que nous pouvons être sûrs de rien".

    Sujet : L'expérience est-elle la seul source de nos connaissances ?

    "Par exemple, un ami a fait la mauvaise expérience de conduire en état d'ivresse".
    "De plus, prenons une femme qui n'a pas d'expérience dans le domaine sexuel. Si elle se retrouve un jour avec un homme qui a une expérience sexuelle et donc qui a des connaissances dans ce domaine, elle va acquérir une expérience et donc une connaissance dans ce domaine. Bien entendu, cette connaissance ne sera pas totale car même l'homme ne sait pas tout dans ce domaine".

    Sujet : Les oeuvres d'art tiennent-elles leur beauté de la simple imitation de la nature ?

    "Dalida dans nombreuses de ses chansons, exprimait sa peur de mourir, nous trouvons ces chansons belles car c'est le sentiment de beaucoup d'entre nous. Pourtant, cela n'immite pas la nature et la chanson est art. Cette femme exprimait aussi son mal être d'être seule, ce que nous trouvons beau également car elle avait cette facilité d'exprimer toutes ses peurs."
    "La seconde des ses chansons [il s'agit ici de la chanteuse Diam's. N.d.A] est celle où elle parle de sa vie quand elle était battu par un homme. Ce thème est d'actualité car les femmes battus sont nombreuses et il s'agit d'une cause de mortalité de 6 femmes sur 10".

    Sujet : Etre libre, est-ce faire ce que l'on veut ?

    "Effectivement, on a pas le droit de se lever un beau matin de printemps, de monter dans sa voiture et d'aller écraser tout les facteurs de la ville, on a pas le droit, le problème c'est qu'il y a personne pour nous empêcher on peut donc le faire, c'est seulement après qu'arriverons les ennuis lorsque les fonctionnaires de l'ordre viendront nous arrêter mais c'est identique personne n'est là pour nous empêcher de défouler notre colère sur les quatre pauvres gendarmes qui sont venus nous arrêter en faisant leur métier. Personne n'est là pour nous empêcher de nous cacher jusqu'à notre prochain meurtre. Le seul moyen de nous arrêter et de nous contraindre à nous rendre par quelque chose de plus fort que nous".

    Sujet : Texte de Spinoza sur l'esclavage et la liberté

    "Il est difficile d'être libre tout en respectant les lois. Tout d'abord avec la loi sur la laïcité à l'école, on est même pas libre de porter les habits que l'on souhaite".
    "Pour ma part, obéir aux lois n'empêche en aucun des libres, au contraire certaine lois me permettent plus d'avoir un but dans la vie et d'y arriver, sa fonctionne comme ça depuis des générations et rien ne pourra y changer".

    Sujet : texte de Kant sur la différence entre l'homme et l'animal

    "L'animal n'est pas un don de la nature servant à l'homme car le mouton à qui on a enlevé sa "peau" pour se vêtir est maintenant, lui dévêtu, et reste là sans pouvoir rien faire."
    "Les hommes volent la vie des éléphants pour revendre leurs défenses en ivoire. Le mouton, lui, sa laine repousse mais quand même on ne devrait pas."
    "Dans certaines rivières, les poissons carnivores suffisent à convaincre tout être humain de ne pas mettre le pied dans l'eau."
    "Prenons l'exemple de l'âne, lorsque ce dernier est obligé de tourner autour de la meule afin de moudre du grain. Même pour un animal, le travail n'est pas très passionnant".

    Sujet : La certitude d'avoir raison est-elle un indice suffisant de vérité ?

    "Souvenons-nous le temps des rois, lorsque les soldats voulaient franchie une porte fermer. Ils utilisaient un rondin de bois qui portaient et faisaient taper dans la porte. Ce rondin s'appel un bélier pour la simple raison que l'homme a dû voir l'animal foncer de colère dans un porte ou autre et qu'il est venu à l'esprit qu'il pourrait faire de même avec un objet lourd. Ce qui nous montre bien que l'art immite la nature. Continuons à remonter le temps au moment où l'homme construit les premiers avions. Un homme s'assoit, réfléchi et cherche quelle invention il pourrait faire. A ce moment il voit un oiseau, plus précisément un oisillon voulant voler, malheureusement celui-ci tombe car il ne savait pas comment faire. Notre homme le ramasse et le soigne et analyse ses ailes, c'est alors que lui vient à l'idée de créer un moyen de voler lui aussi."

     


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  • Résumé:

    En 1760, Denis Diderot commence la Religieuse, roman sous forme de mémoires qu’une religieuse échappée du couvent adresse au marquis de Croismare pour solliciter son aide.

     

    L’histoire est inspirée de celle d’une religieuse de Longchamp nommée Marguerite Delamarre, qui avait fait parler d’elle dans les salons en 1758, pour avoir écrit à la justice, demandant d’être libérée du cloître où ses parents l’avaient enfermée. En effet, elle est l’enfant illégitime entre sa mère et un autre homme que son père. De peur d’aller en enfer, sa mère, par un chantage affectif, la persuade d’aller dans ce couvent. Diderot critique, ici, un précepte de la Bible selon lequel les enfants paieront pour les crimes de leurs parents.

    Diderot fait le procès des institutions religieuses coercitives, contraires à la véritable religion dans la mesure où elles mènent les individus aux souffrances terrestres et à la damnation éternelle. Le monde clos entraîne la dégradation de la nature humaine. Oisiveté, inutilité sociale, promiscuité plongent peu à peu les reclus dans les rêveries morbides ou mystiques, puis dans la folie et les mènent parfois au suicide.

    Avis personnel :

    Ce livre n'est pas vraiment un coup de coeur ! Trop dramatique à mon gout...Je voulais juste le faire connaitre. Diderot a tout de même un grand talent d'écrivain !

     


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  • Résumé

    Alors qu'elle s'apprête à vendre un appartement des quartiers chics de Manhattan, Lacey Farell, jeune agent immobilier, assiste à une scène terrifiante : le client qui s'est porté acquéreur assassine la propriétaire avant de s'enfuir.

    Caché sous une fausse identité, cet homme est un tueur à gages. Mais pour le compte de qui a-t-il agi? Et jusqu'où ira-t-il pour remplir son contrat? Lacey, qui connaît son visage, pourrait bien être la prochaine victime.

    Témoin à haut risque, placée sous la protection spéciale de la police, contrainte à déménager et à changer de nom, elle se méfie de tout le monde, même de ceux qu'elle aime. C'est à ce prix qu'elle pourra rester en vie, ni vue, ni connue.


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    Résumé :

    La domination masculine est un livre de Pierre Bourdieu, publié en 1998, aux Éditions du Seuil, dans la collection Liber. Pierre Bourdieu y développe une analyse sociologique des rapports sociaux entre les sexes, qui cherche à expliquer les causes de la permanence de la domination des hommes sur les femmes dans toutes les sociétés humaines. Le livre s'appuie, en particulier, sur une étude anthropologique de la société berbère de Kabylie.

    La domination masculine s’entend par un habitus donnant aux femmes et aux hommes un rôle prédéterminé. Par exemple, les activités « traditionnellement » féminines, comme la cuisine, obtiennent « par magie » un statut noble lorsque les hommes s’y attellent (par exemple le cas des « chefs cuisiniers », ou encore celui de l’agriculture non-industrialisée où les femmes s’occupent toute l’année de la pousse, et où l’intervention ponctuelle des hommes, lorsqu’ils sèment, donne lieu à diverses réjouissances). Les statistiques montrant que les femmes ont plus tendance à se diriger vers certaines professions ou études que les hommes sont également une manifestation du fait qu’une culture différenciatrice entre les sexes est imposée par la société, notamment via la famille (les filles sont moins encouragées à suivre les études scientifiques que les garçons, par exemple). Il en résulte une dissymétrie dans l’enseignement supérieur, entre les études littéraires et linguistiques, où la population étudiante est fortement féminisée, et les études techniques et scientifiques (écoles d’ingénieur, chirurgie...) très peu féminisées.

    Lors de débats ou de discussions, on observe ainsi que les femmes se font plus souvent couper la parole que les hommes  ; si elles réagissent de manière agressive, le groupe fera savoir que ce n’est pas souhaitable (par exemple, en traitant la femme de « harpie », en l’accusant de « perdre ses nerfs », en qualifiant sa réaction d’« hystérique »), tandis qu’un tel comportement chez un homme sera beaucoup plus accepté.

    Avis personnel:

    Je devais lire ce livre pour les partiels de sociologie en 1ere année et il m'a vraiment plut.Je me suis justement posée beaucoup de questions sur la raison de la domination masculine et j'ai trouvé les réponses dans ce livre ainsi que dans celui de Simone de Beauvoir "Le deuxième sexe". Tout comme ces auteurs, je pense que la "supériorité" dite des hommes, est voulue non seulement par la société, mais également par les femmes... Concernant le style d'écriture du livre, je tiens à le préciser...Bourdieu écrit de manière très lourde, intello et compliquée: beaucoup de ses phrases font au moins 11 lignes. Ce qui m'a moi-même étonnée, c'est qu'il a dit que le "capital culturel"  de chaque individu le predestine à de meilleures études et à un meilleur emploi...Il voulait l'égalité des chance pour tous dans la réussite scolaire ! Or, ses ouvrages sont généralement peu accessibles dans leur lecture...J'ai moi-même eu enormement de mal à le comprendre, au début (je relisais ses phrases plusieurs fois pour mieux les comprendre!) lol !!  Faut s'habituer à son style d'écriture mais ce n'est pas facile lorsque l'on y lit des mots qu'on a jamais entendu parler de notre vie ...

    Dans tous les cas, je recommande la lecture de son livre !

      

     


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  • Résumé :

    En janvier 1815, dans une masure près de Calais, un prêtre donne l’absolution à une femme rongée par le remord. Elle laisse derrière elle un manuscrit qui tient lieu de confessions, dans lequel elle essaye de justifier la vie qu’elle a menée et ses mauvaises actions. Elle s’appelle Emma Lyonna.

    D’origine modeste, son éducation s’est bornée à quelques mois dans un pensionnat de jeunes filles avant que l’argent ne manque à sa mère. Elle trouve alors une place de bonne d’enfants avant de tout quitter pour partir tenter sa chance à Londres avec une amie d’enfance.

    Même si elle rechigne au début à se servir de ses atouts physiques, l’orgueil, l’ambition, l’envie de sorties et de belles choses la poussent à céder à la facilité.

    Elle devient donc successivement la maîtresse d’un amiral, d’un jeune lord avec qui elle connaît les joies d’une vie mondaine mais dispendieuse, du célèbre peintre Romney et de lord Greenville. Avec lui elle vit dans l’opulence puis dans la misère jusqu’à que l’oncle de celui-ci, lord William Hamilton, tombe follement amoureux d’elle, au point de consentir à l’épouser.

    Devenue lady Hamilton, elle suit son mari ambassadeur d’Angleterre à la cour de Naples où elle devient l’amie intime de la reine Marie–Caroline. En tant que favorite, elle assiste à tout ce qui se passe et influence parfois les décisions que prend la souveraine, véritable dirigeante du royaume, le roi Ferdinand préférant la chasse et la pêche aux affaires d’Etat.

    Devant la menace des armées françaises, elle stimule l’attirance qu’a Nelson pour elle et devient sa maîtresse, lui dictant ses volontés qui ne sont que le reflet de celles de Marie-Caroline. Lady Hamilton persuade notamment le célèbre marin de protéger la famille royale et de reprendre Naples aux Français. A cette occasion, elle ne fait pas usage de son influence pour tempérer les répressions contre les patriotes napolitains.

    Lorsqu’en 1800 Lord Hamilton est remplacé à son poste d’ambassadeur, Nelson rentre avec les époux en Angleterre. Lady Hamilton a désormais deux vies: une en tant qu’épouse et l’autre en tant que maîtresse reconnue de Nelson avec qui elle a une fille qu’elle cache à son mari.

    Mais la mort de lord Hamilton en 1803 puis celle de Nelson en 1805 la font replonger dans la misère jusqu’à sa mort en 1815.
     


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