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    Résumé:

    Le conservateur du Louvre est retrouvé assassiné au beau milieu de son musée dans une position singulière. Entièrement nu, bras et jambes écartés et entourés de pictogrammes étranges, le cadavre évoque L'Homme de Vitruve, le célèbre dessin de Léonard de Vinci. L'enquête révèle rapidement que cette mise en scène n'est pas le fait de l'assassin mais qu'elle a été voulue dans un dernier sursaut par la victime elle-même, qui cherche par ce moyen à transmettre un message.

    Avis:

    Un roman à suspense avec beaucoup de rebondissements ! Les amateurs d'énigmes et de romans à conspiration vont surement aimer ! lol ! Des questions se posent sur Jesus-Christ....


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    Pour l'homme, il n'y a pas d'autres moyens d'éprouver le monde, d'être traversé et changé en permanence par lui que les sens. Un va-et-vient s'instaure entre sensation des choses et sensation de soi. Avant la pensée, il y a les sens. Dire avec Descartes "Je pense donc je suis", c'est omettre l'immersion sensorielle de l'homme au sein du monde. "Je sens donc je suis" est une autre manière de poser que la condition humaine n'est pas toute spirituelle, mais d'abord corporelle.

    Les perceptions sensorielles enchevêtrées à des significations dessinent les limites fluctuantes de l'environnement où nous vivons, elles en disent l'étendue et la saveur. Le monde de l'homme est un monde de la chair, une construction née de sa sensualité passée au crible de sa condition sociale et culturelle, de son histoire personnelle, de son attention à son milieu.

    L'anthropologie des sens repose sur l'idée que les perceptions sensorielles ne relèvent pas seulement d'une physiologie mais d'abord d'une orientation culturelle laissant une marge à la sensibilité individuelle. Cette anthropologie des sens cherche à déterminer comment la structuration de l'expérience sensorielle varie d'une culture à l'autre selon la signification et l'importance relative attachées à chacun des sens. Elle cherche aussi à retracer l'influence de ces variations sur les formes d'organisation sociale, les conceptions du moi et du cosmos, sur la régulation des émotions.

    Dans cette recherche ambitieuse, David Le Breton met en perspective et analyse l'ensemble de la littérature sur les sens et leurs interprétations.
     

     


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    Résumé :

    Ce livre représente la réflexion des hommes sur le Bien et le Mal, les liens et différences qui unissent l’art à la vie à l’époque victorienne.
    Dorian Gray représente une beauté inestimable, son histoire : sa décadence. En effet, au début du roman, Oscar Wilde nous présente ce personnage comme la métaphore de la jeunesse : belle, innocente et manipulable.
    Alors que le héros est assommé de flatteries par l’artiste qui peint son portrait, Basil, il fait connaissance avec Lord Henry, caricature d’un homme totalement immoral et qui ne le cache pas, puritain, persuadé de l’existence de la perfection. Conscient de l’art oral dont est doté Lord Henry, Basil lui demande de ne pas s’intéresser à Dorian. Cependant, cette interdiction ne fait qu’accroître le désir du Lord de cette rencontre.
    Lord Henry éveillera la partie sombre du héros. Nous pouvons établir une comparaison entre Dorian Gray et le personnage mythologique, Narcisse. En effet, à la naissance de Narcisse, sa mère demande par quel moyen son enfant pourra vivre longtemps. On lui répond : « Il vivra vieux à condition qu’il ne se voit pas.» Ce qui nous permet de faire un rapprochement avec le personnage de Dorian Gray car, en écoutant les principes de Lord Henry, il se rend compte que la jeunesse est éphémère et que son physique équivaut à la perfection. Il commence à trop apprécier cette beauté, de là naît une jalousie envers son portrait et c’est ainsi qu’il fera ce vœu connu qui est que le tableau endure les défauts physiques et moraux tandis que lui reste à jamais muni de sa splendeur.
    Quand Dorian souhaite cela, il est jeune mais plus innocent car il a goûté aux délices du narcissisme. Il n’est plus manipulable mais bien manipulé non pas par Lord Henry mais par ses paroles, cette doctrine qu’il cultive : l’hédonisme.
    Plus tard, il fera la connaissance de Sybil Vane, une jeune comédienne. Il en tombe amoureux et lui promet le mariage. Mais l’amour empêchant Sybil de se concentrer et donc de jouer correctement, Dorian la répudie ce qui causera le suicide de cette dernière. Suite à cet acte, il remarque qu’un signe de cruauté s’est dessiné sur le portrait. Il réalise alors que son vœu s’est exaucé. Trop heureux par cette nouvelle et encore à cause du long discours de Lord Henry sur l’inutilité des femmes, Dorian n’éprouve pas de regrets face au suicide de Sybil. Ce passage est le début d’une longue liste de vices qu’il commettra sans pour autant en éprouver le moindre remord. Il considère le Mal comme un simple moyen de réaliser sa conception du beau.
    Au cours de l’histoire, Dorian décide de dévoiler son secret à Basil, à présent dubitatif de l’excellence de celui-ci suite aux rumeurs qui circulent sur son compte. Il lui montre donc le portrait en lui disant que Dieu n’est pas le seul à apercevoir les âmes car le portrait représente un miroir dans lequel se reflète l’âme de Dorian. Il finira par tuer Basil car ce dernier le traite d’assassin.
    Dorian dérive alors dans un désespoir profond. Il aboutit dans des milieux mal fréquentés de Londres dans lesquels il fume de l’opium. Se rendant compte de cette situation désespérante, il exerce sa première bonne action. Nous ne pouvons pas forcément inclure cette action dans le registre du désespoir, mais peut-être dans celui de l’expérience, du vécu. En effet, au début du roman, nous connaissons un Dorian Gray adolescent. A présent, il est adulte et commence seulement à mesurer la conséquence de ses actes. Certes, quelles que soient ses intentions le portrait subit une cicatrice de plus : l’hypocrisie.
    Dorian devient alors fou et comprend qu’il a mal mené sa vie. Mais il ne regrette rien car il adhère toujours aux principes de Lord Henry, il aime toujours sa jeunesse. Il décide alors d’éliminer la cause de sa culpabilité : le portrait. Avec le même couteau qui a transpercé Basil, il lacère le tableau. Le lendemain nous retrouvons un corps d’un homme vieux et hideux qui représente l’âme de Dorian Gray, l’intérieur de l’homme, face à un portrait d’un sublime jeune homme car l’art ne représente que la beauté physique.  
    La sortie du roman a provoqué de nombreuses polémiques car les gens de l’époque victorienne considéraient les personnages comme immoraux.

    Avis : 

     Ce livre apparemment immoral cache au contraire, une grande moralité: être quelqun de bien implique la sincerité et le detachement. L'hypocrisie ne marche pas !

     

     


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    Adolphe (Benjamin Constant)

    Résumé:

    Adolphe,  roman de Benjamin Constant, écrit en 1806 et publié en 1816, qui s’appuie sur des éléments autobiographiques, notamment les liaisons de l’auteur avec Charlotte de Hardenberg et Mme de Stael. Un jeune homme, Adolphe, séduit par vanité une femme de dix ans son aînée, Ellénore, qui s’éprend aussitôt de lui avec une passion telle qu’elle n’hésite pas à sacrifier sa famille et sa situation. Très vite, le couple se déchire, car Adolphe n’aime pas Ellénore et ne reste avec elle que par pitié et passivité. S’apercevant par une lettre qu’on lui transmet qu’Adolphe ne l’a jamais aimée et a toujours voulu rompre, Ellénore dépérit et meurt de désespoir sous les yeux impuissants d’Adolphe, désormais livré au remords.

     Dans un souci d’authenticité, le récit (un manuscrit du héros qu’on prétend retrouvé) est encadré par un « Avis de l’éditeur » en introduction, et par une « Lettre de l’éditeur » et une « Réponse » en conclusion, ces dernières offrant un jugement contradictoire sur l’attitude du héros, tour à tour égoïste et sensible. Cela reflète d’ailleurs bien la position du lecteur, partagé entre la description sèche d’une mise à mort involontaire et le besoin émouvant du personnage d’Adolphe d’énoncer sa vérité. Ce récit à la première personne, qui inaugure avec d’autres un genre nouveau, le roman d’analyse psychologique, reste assez classique dans sa forme, tendue vers la concision et la recherche d’une parole sobre et précise. Le classicisme de la forme au service d’un contenu aux accents déjà romantiques ne fait qu’amplifier le sentiment tragique de cette histoire cruelle.

    Avis:

    Personnellement, c'est un roman qui m'a bouleversé car il ressemblait vraiment à la situation de beaucoup de couples. Le personnage Adolphe ressemble tellement aux hommes que l'on peut parfois croiser: conquérant, manipulateur, vaniteux et instable. Il veut conquerir Ellénore par défi...Les hommes aiment justement conquérir, par plaisir, mais quand les femmes cedent, ils s'enfuient par peur de perdre leur indépendance et par peur des responsabilités. Ils ne pensent pas aux conséquences, c'est pour eux un simple jeu d'ego ! Mais pas pour les femmes, enfin souvent...

    Ce roman m'a rendu un peu pessimiste sur la nature humaine.....mais ça fait beaucoup réflechir, donc ca vaut la peine de le lire!! En plus c'est un roman avec un très petit volume (maxi 100 pages ). "Adolphe"s'inscrit dans la lignée des oeuvres du courant romantique...et oui ma période préferée !!

     

     


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  • Quelle est la différence entre un fonctionnaire et un chômeur ?
    - Le chômeur a déjà travaillé.  
     

    C'est quoi un fonctionnaire qui travaille 1/2 heure par jour ?
    Un hyperactif.
     

    Un fonctionnaire surmener déclare :
    - Il y avait du travail pour quatre heureusement on était huit !
     

    Comment est-ce que la plupart des hommes définissent le mariage? Une méthode très coûteuse pour faire laver son linge gratuitement.
     

    Une femme s'inquiete de son avenir jusqu'au jour ou elle se marie. Un homme s'inquiete de son avenir a partir du jour ou il se marie.

    Le mariage, c'est comme au restaurant : Quand on a la carte sous les yeux, on ne sait que choisir. Alors on se décide un peu au hasard et lorsqu'on voit ce qu'on a dans son assiette, on se dit qu'on aurait mieux fait d'avoir pris la même chose que son voisin.
     


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